Pendant que les uns s'arrachent les cheveux pour une histoire de micro-réforme de l'orthographe, les autres (dont mon collégien de fils) rêvent d'un monde où, face à l'homophonie rampante en français, chacun serait libre d'écrire comme bon lui semble. Et voilà. La dictée est morte, vive l'addict hé !